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Quatre plantes ayurvédiques de choix.

Plantes ayurvédiques en inde – Visiter l’Inde passe aussi par adopter son mode de vie, ses principes, sa philosophie. La médecine ayurvédique est un style de vie inventée par les indiens il y a plusieurs milliers d’année et malgré cela, ses principes sont plus d’actualité que jamais. Nous avons déjà évoqués la médecine ayurvédique dans un article précédent.

Dans l’Ayurveda, la nourriture est essentielle. Elle constitue même la base du bien être. Manger sain, permet d’être heureux. La médecine ayurvédique ne fait appel qu’a des produits totalement biologiques et la plupart du temps, ils sont utilisés dans leur état naturel.

Nous avons décidé dans ce nouvel article, de nous attarder sur quatre plantes ou épices essentielles dans la médecine Ayurvédique. Vous verrez que leurs vertus sont étonnement bénéfique pour notre organisme et qu’il est très facile de les inclure dans notre quotidien. Qu’y a-t-il de mieux que des produits alimentaires naturels pour se soigner ?

Quatre plantes ayurvédiques en inde

Curcuma

 

Le curcuma

Le curcuma, aussi appelé le « safran indien » est l’un des ingrédients de base du curry qui fait la réputation de la cuisine indienne. On retrouve cette épice dans quasiment tous les plats !  Les indiens utilisent cette épice tout simplement car c’est bon ! Il s’avère que ses propriétés  préventives et guérisseuses sont  très importantes. Selon des études plus on moins récentes, on constate les indiens ont le taux le plus faible (jusqu’à 10 fois plus faible) des cancers les lus répandus dans le monde ; à savoir cancer du sein, colon, poumons prostate et os. La curcumine inhibe la prolifération des tumeurs, détruit les cellules mutantes, inhibe la transformation de cellules normales en cellules cancéreuses, diminue l’inflammation, empêche le développement des vaisseaux sanguins nourrissant la tumeur et enfin inhibe la synthèse d’une protéine essentielle à la formation des tumeurs. Cette plante aurait même des effets sur la maladie d’Alzheimer. De sérieuses recherches sont en cours sur le sujet.

En plus de cette vertu, non négligeable, nous pouvons qualifier le curcuma d’épice de la bonne humeur. En effet, la plante est connue pour stimuler la norépinephrine (hormone messagère d’une cellule nerveuse vers une autre) et agirait sur l’humeur, l’attention et  le sommeil. Elle stimule une autre hormone appelée la dopamine, ce qui agit sur le plaisir, l’émotion, la satisfaction et enfin, l’hormone de sérotonine qui agit sur l’humeur, la mémoire, l’appétit et même le comportement sexuel.

Après avoir lu tout ceci, vous aurez surement envie de consommer cette plante grande quantité. Vous pouvez trouver du curcuma sous forme de gélule, mais sachez que la meilleure manière de la consommer et tout simplement d’en agrémenter vos plats. Il vaut mieux ne pas cuisiner le curcuma mais plutôt saupoudrer votre plat avant de servir. Dans la médecine ayurvédique, on associe le curcuma avec du poivre ou du gingembre, ce qui augmenterait ses capacités d’action considérablement.

Aloe vera

 

aloe vera

plantes ayurvédiques en inde –  L’aloe Vera figure  parmi les plantes majeures citées dans les textes fondamentaux de l’Hindouisme. Il fait partie de la catégorie des plantes  dites « guérisseur silencieux ». En sanskrit, on la retrouve selon plusieurs appellations : Kumari, Gruhakanya, Deerghapatrika, Ajara, Veera, Rama, Kapila, Mata, Atipittala. On utilisera le terme selon la vertu que l’on souhaite utiliser. L’Aloe vera. Savez vous à quoi ca ressemble ? C’est une plante grasse, de la famille des cactus. Elle se constitue de longues feuilles épaisses avec des piques. Si vous les cassez, un liquide visqueux blanc en sortira. Cette plante se développe très bien dans les environnements chauds voire arides. Autant vous dire que cette plante se plait très bien en Inde. On peut utiliser l’Aloe Vera de façon interne et externe.

jus d'aloe vera

Utilisée de façon en externe c’est-à-dire sous forme
de gel ou crème, cette plante est très bonne pour la peau. En Ayurvédique, on parle d’une plante à l’éternelle jeunesse. Chez les pharaons, on l’appelait la plante de l’immortalité. Grace à ses propriétés anti-inflammatoires et anti bactériennes, l’Aloe Vera sera en mesure de soigner tous les soucis de peau, tel que les irritations, gonflements et problèmes plus en profondeur tel que les exémas. L’Aloe Vera a aussi une action refroidissante ce qui permet de l’utiliser également sur les petites brûlures comme des coups de soleil.

Utilisé de façon interne, l’Aloe Vera aide à la digestion et  l’absorption des nutriments, contrôle la pressions sanguine, booste le système immunitaire, améliore  la condition du foix, prévient les maladies cardio-vasculaires et est un excellent énergisant.  Il suffit alors de prendre une petite quantité de jus d’aloe vera (5cl) tous les matins et tous les soirs.

Attention, l’extraction d’Aloe Vera sur la plante requiert un certain savoir faire. Ne vous servez pas directement du liquide blanc sur la plante qui peut s’avérer être toxique. Préférez les produits vendus en boutique, 100% naturels.

La Noix de coco

La noix de coco verte

les cheveux des femmes indiennes

  plantes ayurvédiques en inde – La noix de coco est partout en Inde. Cela mérite que l’on s’y attarde quelques minutes. Les  cocotiers poussent partout  dans le sud du pays et on la retrouve dans tous les à tous les recoins de rue avec des vendeurs de noix de coco. Pour la modique somme de 30 roupies, vous avez un de l’eau de coco (extraite de la noix de coco verte, c’est-à-dire avantque le noyau ne se forme)  sortie directement du fruit ! Les femmes indiennes utilisent  beaucoup  l’huile de noix de coco pour s’hydrater et entretenir leurs cheveux.  Revenons un peu à l’eau de coco. Boire cette boisson régulièrement permettrait d’entretenir ou d’améliorer considérablement votre santé. L’eau de coco est un liquide peu sucré mais c’est un aliment complet, avec une grande teneur en vitamines, sels minéraux et oligo-éléments. Plus précisément c’est une source très importante de potassium, phosphore, calcium, magnésium, fer et zinc.

 Elle serait, selon la tradition, anti-inflammatoire, utile en cas de fièvrepurificatrice du sang et des reins et aurait même une action contre des inffections de la vessie. En outre, toujours selon la tradition ayurvédique, l’eau de noix de coco fluidifierait le sang et protègerait contre les risques d’infarctus. Elle serait très bonne pour lutter contre la cellulite de ces demoiselles. Et le meilleur dans tout cas est que cette boisson très énergétique est très pauvre en calories. Alors n’hésitez pas à en abuser !

Le Sésame.

le sesame

plantes ayurvédiques en inde – Le sésame est originaire d’Afrique et ses vertus sont reconnues depuis la nuit des temps.  Il est utilisé sous sa forme pure, en grain, en huile ou en farine (tahini).  Nous connaissons tous l’expression utilisée par Ali baba « sésame, ouvre-toi ». Elle ci n’est pas innocente puisqu’à l’époque, on considérait le sésame comme une plante précieuse.

Il existe trois sortes de sésame. Le rouge, le noir et le blanc. Même si le noir est plus thérapeutique que les autres, les vertus des trois sont guérissantes. Le sésame régule le métabolisme des acides gras, l’absorption et la biosynthèse du cholestérol. Il est antioxydant, anti-âge, anti-cancérigène, antidépresseur. Il peut aider le métabolisme hépatique surtout dans le cas d’abus d’alcool.

En plantes ayurvédiques en inde , le sésame est très utilisé. L’huile de sésame est la base de toutes les huiles utilisées pour réaliser les massages mais aussi dans l’alimentation, les rituels et le cosmétique.

L’avantage de cette huile est qu’elle adaptée à tous types de peau et elle est réchauffante et purifiante. L’huile de sésame permet de soigner les rhumatismes, les problèmes de perte de cheveux, les problèmes de peau et les problèmes de circulation. Utilisée en bain de bouche, elle permet de prévenir les carries et elle renforce les dents et gencives. En bref, une huile magique !

Intégrez ces quatre plantes dans votre alimentation quotidienne et vous verrez votre santé considérablement s’améliorer.

A Propos de nous – Nous sommes India Someday. Une agence de voyage francophone basée à Delhi et à Mumbai. Notre concept est la transparence ! Remplissez ce questionnaire en deux minutes et nous vous aiderons à planifier votre séjour en Inde.

Comprendre la médecine ayurvédique

La médecine Ayurvédique –  est très tendance en ce moment. Ce concept qui semble nouveau dans les pays occidentaux s’accorde parfaitement avec la mode bio et cela plait. A paris, les massages les plus vendus en ce moment (et aussi les plus chers !) sont les massages ayurvédiques et les stars partent en « détox » ayurvédique en Inde dans des « hôpitaux » de grand luxe au Kerala.  Il est possible que cette image « bobo » de la cette tendance, soit en opposition avec la vraie nature de la médecine ayurvédique.

La médecine ayurvédique, c’est bien plus que tout cela. Ce n’est pas un nouveau concept, bien au contraire, c’est un art de vivre. C’est même l’une des médecines les plus anciennes au monde, et probablement des plus douces et saines.

Nous vous expliquons dans cet article les principes de base de cette médecine si séduisante.

les ingredients de la medecine aurvediuqe

Qu’est ce que La médecine Ayurvédique

Le principe de médecine ayurvédique fut inventé il y a plus de 5000 and en Inde. Contrairement à la médecine moderne qui manipule et utilise les molécules à l’état chimique, la médecine ayurvédique préfère l’utilisation des plantes et des épices naturelles.

Le mot Ayurvédique peut se traduire en sanskrit par « la connaissance de la vie ». A travers un bon mode de vie et une bonne maitrise de soi, nous sommes en mesure de préserver une bonne santé. En bref, selon l’Ayurveda, pour être en bonne santé, il faut être heureux.

Selon la philosophie ayurvédique, les plantes sont l’âme de la terre et nous sommes constitués des mêmes éléments que notre environnement.

Pour être en bonne sante, il faut que nos « doshas » soient bien équilibrés. Pour cela, la médecine ayurvédique utilise de nombreuses plantes dont vous connaissez la plupart.

Les doshas

Ils sont au nombre de trois et représentent les trois énergies vitales de la médecine. Chacun d’entre eux est la combinaison des éléments de la terre (eau, terre, …)

Le Vata : Air+espace

Le vata est lié à la fonction motrice du corps, aux battements du cœur et la stimulation des sucs digestifs. Sur le plan psychologique, le vata stimule la créativité, l’enthousiasme, la liberté, la générosité, la joie et la vitalité.

Le Pitta : Feu+eau

Le Pitta est lie à la digestion, la nourriture, le maintien de la température du corps, l’éclat des yeux et de la peau. Sur le plan psychologique, il stimule l’ambition, la concentration, la confiance, le courage et la soif de connaissance.

Le Kapha : Eau+terre

Le kapha , quant à lui est lié à la douceur du corps, la distribution de la chaleur, la force et l’endurance, le sommeil et la longévité. Il sera responsable également de l’attention, concentration, compassion, foi, accomplissement, patience, stabilité et la tendresse.

Chaque Dosha a besoin de s’équilibrer les uns par rapport aux autres. Un déséquilibre entrainera un trouble physique ou psychologique. Afin d’équilibrer ses doshas, il s’agit de calmer l’un ou d’accentuer un autre selon les besoins.

les principes de la medecine ayurvedique

Votre apparence physique, physionomique et psychologique est prédéfinie selon les doshas.

Les plantes utilisées :

La médecine Ayurvédique – Les plantes ayurvédiques seront utilisées afin d’équilibrer les doshas. Selon la nature de la personne et son mal, une plante permettra d’augmenter ou d’adoucir un doshas.

La médecine ayurvédique utilise des centaines de plantes différentes et n’hésite pas à les mélanger ensemble pour augmenter l’action, ou la modifier.

Parmi les plantes les plus utilisées nous pouvons citer:

l’Aloe vera, l’amalaki, l’andraka (gingembre), l’andrographis, le boswellia, le brahmi, le centella asiatica, le guggul, le gymnema sylvetris, l’haridra, le mucuna, le neem, le rasonam, shatravari, trikatu, trimada, triphala, tulsi.

Parmi les épices les plus utilisées, nous pouvons citer :

La cardamone, le clou de girofle, la coriandre, le cumin, le curcuma, le gingembre, le poivre noir, le fenugrec.

Voici quelques astuces ayurvédiques à adopter :

– Pour éviter les pesticides, mangez des légumes bio.

– Préférez les légumineuses aux protéines animales qui sont source de fatigue.

– Mangez beaucoup de noix et céréales. Par exemple : vous pouvez remplacer votre petit déjeuner par un muesli avec céréales et amandes, noix de cajou…

– Epicez vos plats. Beaucoup d’épices sont anti inflammatoires et facilitent la digestion.

– Cuisiner à l’huile de coco, reconnue pour ses propriétés anti-inflammatoires et pour son rôle régulateur de la glycémie.

– Limiter les stimulants, thé, café, alcool, mais aussi les boissons gazeuses. A remplacer par des jus chauds de citron-gingembre ou des infusions maison aux graines de cumin, de coriandre, clous de girofle et morceaux de gingembre.

– Toujours boire tiède, jamais froid.

– Attendre trois heures au minimum entre deux repas.les plantes ayurvediques

Il est tout à fait possible de partir en cure dans un établissement ayurvédiques en Inde. Cela peut se faire pour se guérir d’une maladie ou tout simplement pour passer un séjour bien être. Il existe des centres ayurvédiques de tous types, allant du plus simple au plus luxueux.

Une journée dans un établissement de se type alternera des séances de méditation, des soins, des massages et des cours de yoga. Comme la cure est complète, l’hébergement et la nourriture ayurvédique sont généralement compris.les retraites ayurvediques

Vous l’avez compris, si vous voulez vivre un mode de vie ayurvédique et vivre en harmonie avec votre environnement, il vous faudra modifier quelque uns de vos comportements. Il faudra par exemple adopter un mode de vie calme et vous laisser aller à la spiritualité afin de permettre votre processus créatifs de se développer. Une alimentation saine et équilibrée sera la base de votre bonne santé.

Nous pouvons vous aider à organiser votre séjour ayurvédique en Inde. Prenez trois minutes pour remplir ce questionnaire.

Bangalore, la Sillicon valley indienne mais pas que…

Visiter Bangalore  

Communément connue sous le nom de la Silicon Valley de l’Inde, Bangalore a plus de cordes à son arc que vous ne l’imaginez…

 

La Sillicon valley indienne ou cité-jardin

Image credits- Grownup

la Silicon Valley de l’Inde, Visiter Bangalore – Ville de hautes technologies, forte de ses 500 start-up qui redynamisent l’économie du pays, Bangalore suscite l’intérêt des grandes entreprises américaines et européennes High Tech. Les filiales indiennes de Microsoft, Amazon, ou encore Google y sont situées. Ville cosmopolite, elle héberge une population multiculturelle de toutes parts de l’Inde et d’ailleurs. Une population diversifiée dont Bangalore se nourrit pour créer son patrimoine, un melting-pot culurel à l’état pur. Ci-dessous, on a osé le burger du Hard Rock Café! 

Il faut dire que Bangalore qui signifie d’après son etymologie «la ville des haricots bouillis» a connu une accélération industrielle et économique très forte au cours des dernières décennies. La Silicon Valley indienne a développé une véritable expertise dans les secteurs notamment de l’aérospatiale et des logiciels informatiques attirant ainsi une importante population d’expatriés dont de nombreux francophones. Et je parle en connaissance de cause. L’année dernière, je travaillais en tant que chef de projet web au sein de l’entreprise française et de haute technologie Dassault Systèmes, leader mondial de logiciel 3D, connue notamment dans le domaine de l’aérospatiale et de l’aviation. J’étais ainsi en étroite collaboration avec les équipes indiennes qui représentent une part colossale des employés de l’entreprise à l’international.

D’autre part, en se promenant dans les rues de Bangalore, il n’est pas rare de croiser des hommes occidentaux vêtus d’ensembles 3 pièces costume-cravate, une mallette d’ordinateur à la main.

Une autre raison pour laquelle Bangalore attire tant les expatriés : son climat tempéré. Ni trop frod – ni trop chaud, avec des températeure oscillants entre 15 et 30 degrées, Bangalore jouit d’un climat beaucoup moins étouffant que nombre de villes indiennes en raison de son positionnement géographique en altitude. Ville-verte ou ville-jardin, Bangalore a ainsi profité de son climat tropical humide pour développer une flore importante. Alexandra et moi avons donc expérimenté une promenade au Cubbon Park, parc géant situé au cœur de la ville. Connu pour être l’un des endroits les plus agréables pour passer du temps et chiller entre amis ou en couple, quelle fût notre déception à la découverte du parc. Rien de transcendant, de palpitant, pas même charmant. Non vraiment. Après c’est un avis personnel mais les photos parlent d’elle-même.

 

Visiter Bangalore

la Silicon Valley de l’Inde, Bangalore – L’attrait touristique de Bangalore se caractérise aussi par ses bars, cafés et autres restaurants branchés, autant de symboles de la modernité occidentale.
Comme nous le disions souvent avec Alexandra « Bangalore is all about eating and shopping », je vous l’accorde c’est un court raccourci pour définir la ville.
Lors de notre séjour à Bangalore nous avons donc cédé à une exploration de nuit de UB City, autrement dit le 1er centre commercial de luxe indien ; de Burberry à Louis Vuitton, la majorité des marques internationales sont disponibles au sein du centre! Après un diner dans un restaurant mexicain vraiment goutu, nous nous sommes élevé au sommet du bâtiment, pour nous rendre au rooftop et disguter un verre pour achever la soirée en beauté !

 

Si UB City accueille les plus grandes marques internationales, Mahatma Gandhi Road n’est pas en reste e car il s’agit de la rue la plus fréquentée de Bangalore. Les bureaux d’affaires, les restaurants et les gigantesques magasins de shopping grouillent de toutes parts. MG Road est définitivement un incontournable de la ville.

 

 

Après-midi culturel: Tippu Summer Sultan’s Palace & Jamia Masjid

la Silicon Valley de l’Inde, Bangalore- Bien entendu, nous avons également profité de notre séjour à Bangalore pour nous imprégner un temps soit peu de la spiritualité que la ville a à offrir.
Un itinéraire rapide et efficace nous a donc permis de visiter le très beau Tippu Summer Sultan’s Palace et d’arpenter les alentours de la mosquée Jamia Masjid.

Non loin du vibrant Krishnarajendra Market, Tipu Sultan palace, est un lieu charmant et dépaysant, à l’abri du vacarme de la ville. A l’entrée, nous avons été accueillis par son magnifique jardin qui laisse ensuite place au palace impressionant par ses piliers aussi beaux que majestueux.

Jamia Masjid est la plus important mosqée de Bangalore, située dans le quartier marchand de la ville. Sur le chemin, nous avons eu le plaisir (ou le dégout) d’être initiées à une forme de médecine locale atypique. Les dentistes de rues pulullent aux alentours de la mosquée. Munis de leur équipements de fortune, ils « soignent » la dentition des patients à la recherche d’une nouvelle dentition.

 

Rapide et efficace comme vous pouvez en juger par le avant/après ci-dessous, il n’est pas dit que cette méthode est pérenne pour autant et que les malheureux venus consultés ces dentistes d’appoint n’aient pas besoin de soins plus approfondis.

 

Visiter Bangalore – En résumé, Bangalore est la destination idéale en Inde du Sud pour s’échapper le temps d’une journée des magnifiques temples que la région a à offrir. Profiter de ce que la ville a à vous donner, pour ainsi dire, les restaurants, les cafés et les bars en rooftop. Vous aurez l’impression d’être chez vous à l’étranger 🙂

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Mysore: le petit joyau du Karnataka

Eat, sleep, love at Steven’s house…

Image credits- gagan moorthy

Visiter Mysore – Ou le baptême de feu réussi d’une backpacker en bed and breakfast! Moi, Aminata DEMBELE, 24 ans, célibataire, diplômée et backpackeuse invétérée, jamais Ô grand JAMAIS je n’aurai pensé dormir dans un bed and breakfast en Inde. Loin de moi l’idée d’écorner l’image de ce mode de logement vacancier, disons simplement qu’instinctivement le bed and breakfast est rapidement associé à vacances en famille ou weekend en amoureux en Toscani. Je sais, cliché (vous pensez!). Cependant, mes a priori précipités sur le sujet se sont aisément dissipés à la découverte du logis de Steven X, un anglais de 50 balais, pas vraiment retraité, pas vraiment employé mais assurément un hôte excellent qui a su me faire apprécié l’expérience de dormir chez l’habitant, avec l’habitant.

Mysore Palace, trop la classe!

Visiter Mysore  :

Le petit joyau du Karnataka – Avant de mettre les pieds à Mysore, mes connaissances sur la ville restaient limitées au Palais. J’avais ouïe dire qu’il était beau, imposant et magnifiquement scintillant les soirées où il est illuminé. Cette caractéristique le démarque sensiblement des autres palaces présents dans la ville. En effet, si le Mysore Palace ou Main Palace n’est pas l’unique palace de Mysore, il est très certainement le plus somptueux et majestueux. A l’intérieur du temple, les photos sont malheureusement interdites mais croix de bois, croix de fer (si je mens….) la visite en vaut largement la chandelle. Pour ma part, j’ai rarement vu un monument d’une aussi grande beauté. Comment vous l’expliquer? Je vais essayer!

Pour commencer, chaque pièce possède une identité universelle avec des références architecturales aussi variés qu’un hall de palace andalou, qu’une cour d’une maison traditionnelle italienne ou encore un plafond versaillais. La perfection des détails fait la force de ce lieu. De jour comme de nuit, il demeure un souvenir indélébile; une image forgée au fer rouge dans mes pensées.

Le destin a joué en notre faveur puisque les deux nuits passées à Mysore sont tombés sur un week-end, l’occasion de profiter du palace illuminé, le dimanche en soirée. La composition de cette image est magique, poétique; l’opposition du palais éclairée contre le ciel opaque et sombre illustre mieux que jamais l’oxymore obscure/clarté.

Il nécessite l’utilisation de 97000 lumières pour créer le rêve enchanté du Palace éclairé. Idéalement situé au cœur de Mysore, le Palace fait la fierté de la ville, un trésor local et national inestimable.

Devaraja Market

Image credits- Dietmut Teijgeman Hansen

Visiter Mysore :

Le petit joyau du Karnataka – Foodporn invétérées, Alex et moi ne pouvions pas passer à côté du fameux Devaraja Market de Mysore. Vibrant et coloré, le marché à ciel ouvert est vieux de plus d’une centaine d’années. L’artère principale de la ville où s’animent des marchands de produits très variés, du simple vendeur de bracelets (bangles), aux vendeurs d’oignon, de noix de coco, en passant par le fleuriste, l’essence de la ville transpire dans ce grand bazar bruyant.

Pour remettre à l’heure les pendules, c’est au au Sri Chaundeshwari Temple que nous avons chronologiquement commencé notre visite de Mysore. Cette première étape a été marquée par un événement fort en émotions qui va peut-être quelque peu vous dérouter, vous choquer voir même vous faire pleurer. Et pour toutes ces raisons, j’ai préféré amorcer mon article par l’enchantement du Mysore Palace. Fini de rêver, back to la réalité, notre journée n’avait pas si bien commencé.

Nous avions quitté le logis de Steven à 9h pour nous rendre à Chamundi Hill, une ville située à 13km de Mysore. La ville est connue en Inde et à l’étranger pour le Sri Chamundeshwari temple. A mon humble avis, le temple n’a pas un très grand intérêt, de surcroît la queue et longue et mouvementée à moins que vous ne payez 100 roupies pour posséder un coupon fast pass afin de réduire votre temps d’attente; walt disney comme ci on y était :).

A l’entrée du temple:

Les fidèles s’agglutinent par dizaine pour toucher l’effigie de la déesse Chamundeswari. L’intérieur du temple, exigu et bondé a été l’occasion rêvée pour un être malintentionné pour dérober la sacoche de mon ami Alex. Dieu soit loué, Alex s’est très rapidement aperçue que son sac était ouvert et que la sacoche qui était à l’intérieur avait disparu. Ses cris de désespoir déchirants et bouleversants (vraiment impressionnants) ainsi qu’une mobilisation serrée de la sécurité qui bloqua efficacement toutes les entrées ont suffit pour effrayer le voleur (jamais retrouvé) qui a finalement laissé tomber son butin au sol. Plus de peur que de mal donc!

Si je me permets de partager ce fâcheux événement ce n’est pas pour diaboliser le pays ou vous décourager de venir en Inde. Que vous soyez en Inde, en Suède, au Pays-bas ou aux Émirats, le danger est partout. L’important est de toujours rester vigilant dans n’importe lieu touristique que vous visiter, et même après 6 voyages en Inde, Alex en a clairement manqué.

Une journée pour Visiter Mysore es suffit à explorer le temple et le palais. Privilégiez le dimanche pour assister à l’illumination du palais!

Cependant, si votre séjour dépasse un jour, pensez à vous rendre à Srirangapatnam, ville située à X km de Mysore. La-bas, ne multitude de visites de temples, palaces et jardins s’organisent au sein de la ville. Ne ratez pas l’incontournable Tippu’s summer palace, incroyablement bien maintenu avec un jardin magnifique!

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Don’t worry, Be Hampi : un patrimoine historique à l’assaut des hippies

Visiter Hampi

J’intitule mon article par ce mantra tant entendu, répété, chanté, de droite à gauche – du nord au sud d’Hampi. «Don’t Worry, Be Hampi» ça signifie se laisser emporter par la vague de chaleur du site classé au patrimoine mondial de l’Unesco mais c’est aussi ne pas se laisser importuner par l’odeur de marie-jeanne qui vous chatouille les narines et titille votre odorat jusque sous vos draps. Empreintes laissées par un backpaker, en quête de spiritualité, en route vers une nouvelle odyssée.

Avant Hampi, il y avait Vijayanagar, une ville fondée au 14ème siècle, qui apporta une renaissance dans la région en termes d’art et de culture. Mais ça c’était avant! Maintenant, la grande majorité de Vijayanagar est en ruines suite à une bataille au 16ème siècle où les plus majestueuses structures et édifices ont été détruites. Et c’est ainsi qu’Hampi fût, connu aujourd’hui comme le site de l’ancienne ville de Vijayanagar.

 

Comment être un Happy Hippie à Hampi en 5 étapes?

En plus de ses majestueux temples, la renommée d’Hampi se forge aussi autour de sa communauté hippie qui envahit le site toute l’année. Pour mettre rendue à Hampi en haute saison il y a deux ans, et basse saison cette année, j’ai pu constater que la clientèle était (quasiment) toujours la même. Alors si vous décidez de vous rendre à Hampi, voici mes conseils d’infiltrée pour vous mettre dans la peau d’un hippie made in Hampi:

  1. L’attitude: tout est dans le regard, la démarche et la manière de s’exprimer. Pour adopter l’attitude hippie, un air las et blasé est hautement recommandé. Le langage hippie s’apparente à des discussions portant sur le monde, la vie, la philosophie… Les hippies abordent des sujets de société telle que la globalisation, l’agriculture industrielle, la déforestation mais sans jamais vraiment aller dans le concret. Ils prônent la réduction des biens matériels pour une vie plus équilibrée mais dans le même temps éditent sur un MacBook Pro nouvelle génération leurs derniers clichés pris par un Canon SD. Paroxysme du paradoxe du parfait bobo qui revendiquerait manger healthy et bio everyday mais tout droit sorti de sa Weather rave party se tape entre amis un menu Maxi Best Of Big Mac sans aucun soucis!
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  2. Le style vestimentaire: un hippie fait attention à son style. Les hommes vont arborer un style débraillé mais soigné: dreadlocks, chemise ample, bermuda ou pantalon sarouel ainsi qu’une barbe de trois jours maladroitement taillé ou de 30 jours entièrement assumée.

    Les filles vont s’orner le corps de bijoux, de la tête aux pieds, des oreilles aux chevilles en passant par le nombril; bracelets aux bras, avant-bras, sans oublier le bindhi, la touche indo-trendy. Tantôt jupe longue, tantôt mini short et crop top, la tenue vestimentaire des hippies est aussi schizophrène que leur personnalité!

  3. L’alimentation: Aussi discriminant que cela puisse paraître, les hippies ne sont pas gros et ce constat est certainement dû à leur alimentation. Le petit-déjeuner comprend habituellement un bol de muesli, du curd (yoghurt) et des fruits. Le premier repas de la journée étant relativement complet, les hippies font habituellement impasse au déjeuner. Un snack suffira à calmer la petite faim ressentie avant le dîner. En soirée, falafel, pita, humous, momos et autres mets légers, sains et végétariens sont requis avant de partager en communauté un calumet de la paix
  4. La consommation de marie-jeanne: Marijuana, pot, canabis, marie-jeanne… Autant de noms pour qualifier la consommation banale et généralisée de stupéfiants. Au réveil, avant le petit déjeuner, pendant, après mais aussi au goûter et au dîner, fumer «de la bonne» à bas prix est un luxe auquel les hippies jouissent sans contrefaçon, à l’unisson.
  5. La nationalité: au risque de tenir (encore) un discours discriminant, mon étude de la communauté hippie a permis d’identifier que 80% des backpackers rêveurs d’Hampi sont essentiellement israéliens. Moins nombreuse et imposante que la communauté israélienne basée à Goa (où les menus des restaurants et les pancartes de rues sont traduits en langue israélienne), il semblerait que la région subit tout de même un flux migratoire massif de cette jeunesse israélienne.

    Hampi, ou le nouvel oasis de fraîcheur pour cette jeunesse à la recherche d’évasion et de sérénité.

    Visiter Hampi

1.The Virupaksha temple

Visiter Hampi – Nous avons commencé notre séjour à Hampi au temple le plus incontournable du site historique; j’ai nommé Virupaksha temple, le plus haut lieu de pèlerinage de la région. Contempler les fidèles se rassembler dans cet antre de l’hindouisme est un spectacle vivant de toute beauté. Vêtus de leur plus beaux apparats, femmes, maris et enfants vénèrent Shiva, dieu de la destruction (Rudra) et symbole de la fertilité.

Image credits- sandeep chandra

Cependant, quelle fût notre surprise lorsqu’à l’entrée le monsieur du comptoir de billets nous a réclamé un supplément d’argent pour le port de nos caméras. Afin d’éviter des frais non désirés, Alex et moi décidions de sacrifier mon appareil photo. C’est donc le regard aiguisé d’Alexandra qui immortalisa numériquement ce somptueux monument. Par chance, j’ai tout de même pu immortaliser la voie lactée religieuse et colorée de pèlerins ci-dessous.

 

2. Achyutaraya temple

Hampi : un patrimoine historique- Après notre visite du temple Virupaksha, nous avons rencontré deux sœurs allemandes qui nous ont rejoins pour explorer les alentours d’Achyutaraya, reconnu comme étant l’un des plus magnifiques temples d’Hampi. En effet, que vous soyez attablés au rooftop d’un restaurant, que vous flâner à la terrasse de votre GuestHouse ou que vous magasinez dans les shops qui pullulent la cité, on vous recommandera toujours de visiter ce temple d’une beauté inestimée.

Image credits- Kirk Kittell

Construit en 1534, ce temple est le parfait exemple du style architectural de Vijayanagara. Une petite trotte s’impose pour accéder au lieu divin, situé entre le Gandhamadana et Matanga hills (deux points de repères facilement identifiables sur n’importe quelle carte d’Hampi). Remarquez que l’Achyutaraya temple est l’une des plus grandes créations de la dynastie Vijayanagara avant le déclin de leur empire.

 

3. The Monkey Temple

Hampi : un patrimoine historique

La fin de notre journée était originellement réservée au coucher du soleil depuis le Monkey Temple. Entièrement dédiée au Dieu Hanuman, le Monkey Temple est situé derrière le Kodanda Rama Temple, de l’autre côté de la rivière. Ce lieu tient son nom et sa renommée du fait que le Dieu Hanuman serait né au sommet de la montagne rocheuse. Ce n’est pas étonnant qu’une armée de singes foisonnent tout au long de la montée. Prenez garde à ne pas déguster bananes, biscuits et autres douceurs afin d’éviter une attaque non désirée par un singe affamé.

Image credits- Jorge Lascar

Pour accéder à la montagne sacrée, nous avons donc embarqué à bord d’un petit bateau à moteur et traversé la rivière, de couleur rouge brique à cette époque de l’année. Malheureusement, une fois arrivées au sommet, les nuages et la pluie nous ont surpris, adieu coucher de soleil et point de vue merveilleux! Nous avons été bloquées une trentaine de minutes dans le temple qui avoisine le point de vue. La mousson a encore frappé!

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Pune, entre modernité et spiritualité

Ville jeune, universitaire et cosmopolite

Visiter Pune

Est communément présentée comme une ville jeune, moderne, dynamique, ouverte vers le monde. Lors de mon premier séjour en Inde, il y a deux ans, en weekend à Hampi, j’avais rencontré deux étudiants d’une école internationale à Pune. Ces deux étudiants étaient respectivement d’origine tchadienne et espagnole. Ils étudiaient dans l’un des rares établissements internationaux offrant un système scolaire alternatif à celui pratiquer dans la plupart des lycées et universités. Cette école offrait un programme divers avec des cours allant de l’anthropologie à l’histoire de la sculpture antique, des cours de sports, de yoga, de biodiversité, de théâtre français. Une palette de choix aussi intéressants que variés; le but étant de favoriser le développement des étudiants à travers la culture, le sport, la nature en plus de cours classiques et plus théoriques. Une école formant à une future élite de la société avec un grand S! L’apprentissage des langues étrangères forgent aussi la personnalité de Pune où l’allemand ou encore le français sont enseignés respectivement au Goethe Institut et à l’Alliance Française.

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En plus de s’ouvrir aux langues étrangères, il est important de noter que les établissements universitaires de Pune accueillent chaque année des étudiants venus du monde entier. Prenons l’exemple de l’Afrique et plus précisément de la Namibie. Notre visite à Pune a été l’occasion de voir mon ami Peter, d’origine namibienne, rencontré il y a deux ans lors de mon premier voyage en Inde. Nous lui avons donné rendez-vous dans un lieu fréquenté par la jeunesse et la population d’expatriés: German Bakery. Peter nous a informé qu’il bénéficiait d’une bourse scolaire pour étudier en Inde. Cette bourse est une réelle aubaine pour Peter, qui étudie maintenant depuis 3 ans au sein du College of Engineering Pune, un institut autonome du gouvernement du Maharashtra, fondé en 1854.

Niveau culture, ayant vécu 6 mois à Bombay, je suis restée un peu sur ma faim en termes de culture. Je comprends mieux pourquoi maintenant. Ce n’est pas Bombay, mais bien Pune qui est considérée comme la capitale de la culture dans l’État du Maharashtra. Je n’ai rien contre Bollywood mais maintenant que je sais que j’aurai pu faire le plein de musique, théâtre, et découvertes artistiques à Pune, je suis légèrement blasée.

Spiritualité: Osho Ashram et ses petites curiosités

image credits- Vladimir Buynevich

Visiter Pune – A Pune pour une journée, nous ne pouvions pas rater l’occasion de nous imprégner de l’ambiance de l’ashram Osho et du mystère qui entoure le lieu. Osho Ashram est situé dans le quartier sophistiqué, propre et résidentiel de Koregaon Park, au numéro 17. Notre appart’hôtel était également localisé dans ce quartier très vert et élitiste de Pune.

L’ashram accueille chaque année des milliers de visiteurs du monde entier, de tous âges, sexes et nationalités, venus tester l’expérience unique qu’offre le site. L’Ashram offre une palette variée mais assez onéreuse de cours portant sur la méditation.

La première démarche consiste à remplir une formulaire d’inscription + être diagnostiqué négatif à un test de séropositivité + procéder à l’achat de tuniques à l’effigie de l’Ashram.

Pour une première visite, on apprend sur le site internet que les visiteurs doivent payer la somme de 1400 roupies pour l’inscription incluant un test pour le SIDA, un pass d’entrée et la participation au « Welcome Morning ». Cependant, l’inscription n’inclue pas un ticket à une séance de méditation.

Un ticket journalier inclus une journée entière de méditation et l’accès aux cours libres dans le Buddha Grove. Les tickets d’entrée peuvent être achetés pour une durée d’une journée à 10 jours (à partir de 1560 roupies la journée pour un visiteur étranger et 760 roupies pour un visiteur indien) ou pour une durée de 30 jours complets (bon de réduction de 40%).

Osho Teerth Park

DSC_0457Nous n’avons pas été autorisés à visiter l’ashram, on avait même l’interdiction de prendre une photo de la devanture. Encore un moyen de préserver un lieu tenu secret… Cependant, nous avons pu nous promener dans le Osho Teerth Park, un magnifique parc de 12 hectares, symbole d’un équilibre entre un environnement sain et les besoins d’une ville moderne. Le parc fait respirer la ville, la rend plus eco-responsable et répond ainsi aux challenges des villes grandissantes comme Pune.

“With our deep meditation and gratitude for existence, it is possible that this earth can remain growing with more consciousness, with more flowers; it can become a lotus paradise. You are a guest. Leave this earth a little more beautiful, a little more human, a little more lovable, a little more fragrant, for those unknown guests who will be following you.” Osho.

La vieille ville: un petit tour au Fort et au marché

A partir du quartier résidentiel de Koregaon Park Lane (où se trouvait notre appart’hôtel), Alex et moi souhaitions nous rendre dans la vieille ville de Pune afin de distinguer les différences entre d’un côté Koregaon Park Lane, ses résidences, son calme, son ashram et ses restaurants fancy et de l’autre côté la vieille ville, son agitation, ses traditions, son marché, sa vivacité…

shaniwar wada
image credits- Nishanth Jois

C’est ainsi que nous avons atterri à Shaniwar Wada Fort. Consruite en 1736, Shaniwar Wada est point de repère de référence (landmark) de la vieille ville, voir la ville toute entière. Nous n’avons pas exploré l’intérieur du Fort mais de l’extérieur, nous nous sommes un peu attardées sur l’architecture du lieu dont l’on peut apercevoir ses piliers en bois.

Nous avons ensuite continué notre visite de la vieille ville par une expédition au Mahatma Phule Market, le plus important marché de légumes de Pune.

Une journée pour Visiter Pune s’est ainsi achevée. Malgré la pluie et le temps imparti d’une journée, nous avons tout de même réussi à nous imprégner légèrement de l’ambiance de cette ville d’expatriée.

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Aurangabad : à la découverte des grottes d’Ajanta et d’Ellora

Visiter Aurangabad 

Alexandra et moi sommes arrivées à Aurangabad le samedi 5 Septembre, prêtes pour entamer notre road trip indien #IndiaSomeday #YouWanderWepay! Après un diner copieux et savoureux, nous passions la première nuit de notre séjour à l’hôtel Oberoi, un hôtel au confort correct avec un personnel sérieux et disponible.
Nous n’avions qu’une journée pour explorer les beautés de la région et par cela j’entend les grottes d’Ajanta et Ellora car la ville d’Aurangabad en elle-même n’a rien à envier à un chantier d’ouvrier; poussiereuse et désorientée, Aurangabad city n’est définitivement pas à la hauteur du charme de ses grottes.

Visiter Aurangabad – Cette programme aura  intéressante pour vous .

1 . Grottes d’Ajanta

Après un périple en voiture de 104 km depuis Aurangabad, nous arrivions enfin aux Grottes d’Ajanta. Nous avons profité de ce long trajet en voiture pour nous arrêter en chemin et prendre un parfait petit-déjeuner indien dans un restaurant familial installé au bord de la route.DSC_0111A notre arrivée, notre chauffeur nous arrêta au point de limite des voitures. Un bus nous attendait pour nous mener aux grottes pour un voyage de 4 Km. L’accès aux grottes d’Ajanta requiert de verser la petite somme de 250 roupies pour les étrangers (comme nous) mais les indiens n’ont que 10 roupies à verser (bonjour la discrimination!). Un extra nous a été demandé pour l’utilisation de notre caméra, ce qui nous a semblé un poil abusif raison pour laquelle nous avons subtilement éviter de payer cette somme superflue.DSC_0165

Les tickets en mains, nous devions encore passer devant la sécurité, puis au point de check des billets avant d’enfin pénétrer au coeur du site historique. En guise de cadeau de bienvenue, un nombre incalculable d’escaliers à monter nous attendait bien sagement pour démarrer notre aventure. Pour les plus paresseux, des “dobbie-wallas” proposent gentiment leur service; ils vous invitent à vous asseoir sur un chaise qu’ils portent à deux pour vous mener au sommet. Tel un roi ou une reine sur votre trône, vous évitez ainsi une montée sportive mais en contrepartie vous participez sans aucune honte à une forme d’esclavage moderne.

Les 29 grottes d’Ajanta, creusées à l’époque gupta (Ve et VIe siècles), vers 200 av. J.-C sont composées de 24 monastères et 5 temples, occupées à l’époque par 200 moines et artisans. Alexandra et moi nous sommes longuement attardées à contempler la beauté de ces grottes d’une autre ère, décorées de sculptures et de gravures qui illustrent la vie de Bouddha. En effet, il est important de noter que l’ensemble des peintures et sculptures d’Ajanta sont des chefs-d’œuvre de l’art religieux bouddhique qui ont exercé un rayonnement considérable. Elles marquent le début de l’art classique de l’Inde.

L’histoire dit que les 29 grottes ont été abandonnées en 650 apr. J.-C. en faveur d’Ellora. Et on peut comprendre pourquoi! Bien que magnifiques, les grottes d’Ajanta ne sont pas comparables aux merveilles d’Ellora. Après être tombées dans l’oubli, il faut attendre 1819 pour que les grottes d’Ajanta soient redécouvertes au cours d’une partie de chasse au tigre menée par des Anglais.

2 . Grottes d’Ellora

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Les grottes d’Ellora comptent trente-quatre monastères mais malheureusement faute de temps, nous n’avons pu qu’en explorer qu’une infime partie.

Ellora, avec sa succession ininterrompue de monuments, est un complexe artistique unique, et représente un remarquable exploit technologique à l’ère du Moyen äge indien de par sa succession de monuments aménagés sans interruption entre 600 et 1000. A la différence de l’architecture des grottes d’Ajanta, les peintures et sculptures d’Ellora ne sont pas l’expression d’une seule croyance, mais celle des trois principales religions de l’Inde ancienne: le bouddhisme, le brahmanisme et le jaïnisme. L’ensemble des sanctuaires religieux illustrent l’esprit de tolérance caractéristique de l’Inde ancienne. Le site d’Ellora est un lieu avec une porte universelle où chaque religion a pu installer ses sanctuaires et communautés sans discordes avec les voisins.

Nous avons commencé notre découverte des grottes d’Ellora par la grotte 16, issue du groupe brahmanique, la plus populaire et sans nulle doute la plus impressionnante des 34 que compte le site. La grotte 16, consacrée au Dieu Shiva, aussi connue sous le nom de la Kailasa est un temple shivaïte qui reflète l’exemple même du temple indien creusé dans la roche en raison de ses proportions impressionnantes et de son magnifique décor scuplté.

Pour la petite anectode linguistique, la Kailasa tire son nom de la montagne dont le temple était originaire dans l’Himalaya, le pic neigeux de Kailasa. Elle porte le numéro 16 car le temple tout entier est soutenu par 16 pilliers.

En explorant le grotte, Alexandra et moi avons pu admirer la sculpture majestueuse représentant Ravana tentant de gravir le Kailasa. Cette image symbolise toute la puissance de la maitrise des techniques architectiurales de l’époque et représente un point de référence pour tout l’art indien.11951257_923711631032728_5193040927132453764_nCette visite de la grotte 16 a été marquée par une pluie torrentielle qui nous a surprise alors que nous profitions agréablement des beautés du site (et acceptions de prendre quelques photos avec des parfaits inconnus). Pour nous protéger de la mousson, nous nous sommes réfugiées dans une grotte avec une quinzaine d’indiens, qui avaient choisi le même point de chute pour se mettre à l’abri. Cette expérience, bien que malvenue aura été l’occasion d’expérimenter notre première mousson, un baptême de pluie qui marqua le début de bien d’autres averses (que vous découvrirez au fur et à mesure de notre voyage).

Après une trentaine de minutes à l’abri, nous décidions enfin de sortir de notre tanière. Nous n’avions plus que 30 min pour explorer le site qui nécessite assurémment une plus longue durée pour l’arpenter. Motivées comme jamais, nous nous sommes dirigées vers les grottes voisines. A la grotte 15, le maitre des clefs a eu l’immense gentiellesse de nous laisser explorer le lieu en VIP, c’était magique!

 

3 . La vieille ville d’Aurangabad    

Afin de clôturer notre séjour à Aurangabad, nous avons passé notre dernière journée à explorer la vieille ville et ses environs. Les populations accueillantes et bienveillantes se sont prêtées au jeu des caméras. Nos modèles d’un jour ont sublimé nos objectifs par leurs expressions fascinantes et singulières. Là-bas, les religions semblent cohabiter en parfaite harmonie; temples hindous et mosquées musulmanes sont voisines. La communauté musulmane vit au sein d’un quartier vivant, aux habitations modestes et colorées. La vivacité des couleurs apportent une chaleur et une gaieté au quartier, nettement plus agréable à visiter que le centre ville désordonné et bruyant d’Aurangabad.

Visiter Aurangabad 

Cette étape aurangabadienne aura été intéressante à plusieurs niveaux. Alexandra et moi avons été ravies de découvrir Ajanta et Ellora mais nous recommandons un minimum de deux jours complets pour explorer l’ensemble des grottes. Le temps nous a manqué mais nous avançons dans notre voyage satisfaite de notre découverte!

 

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Métro Boulot Dodo à Bombay

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Métro Boulot Dodo à Bombay – Il y a deux ans, je m’envolais, enfin je prenais un train pour Bombay et ce après avoir été une rescapée d’un accident qui m’aura valu une jambe cassée. Pour résumer, de Juillet 2013 à Septembre 2013, j’ai effectué un stage en tant que Coordinatrice en recherche de fonds pour le Centre Catamaran, un centre environnemental ecofriendly, situé dans un village non loin de Pondicherry. J’étais en charge de la prospection de partenaires: rédaction en français et en anglais de dossiers de sponsoring à présenter aux entreprises françaises basées à Chennai et Bangalore (Silicon Valley indienne).

A cette première mission s’ajoute la création de supports de communication: kits de présentation photo, blog, vidéos institutionnelles liées à des problématiques environnementales: gestion des déchets, gestion de l’eau, énergies renouvelables… Après 3 mois de stage, l’heure était venue pour moi de partir vers des contrées lointaines (Bombay) pour un autre stage. Un soir, je décidais de célébrer mon départ vers le New York indien avec des amis de Pondicherry.

Je sortais de mon dîner, il faisait nuit et il pleuvait quand soudainement, au moment de traverser, une moto m’a fauchée. Je suis restais inconsciente un instant avant de réaliser que ma jambe droite était fortement endommagée! Anesthésie locale, 7 points de sutures, béquilles, alitée car en incapacité de marcher; il m’a fallu deux semaines pour récupérer.
Une fois tous mes bandages retirés, mes bobos soignés, je m’élançais depuis Pondicherry vers la ville lumière indienne pour un périple de 35h de train. J’avais postulé en tant que stagiaire à l’ONG Child Rights and YOU (aka CRY).
Après deux semaines d’entretiens intensifs pour intégrer l’ONG, j’étais sélectionnée. Le début de mes intrépides aventures à Bombay pouvait enfin commencer. Un métro-boulot-dodo pas aussi “shanti-shanti” qu’à Paris…

Le Métro

A tous les parisiens qui croyaient avoir connu le pire avec la ligne 13 du métropolitain, soyez prêts avant d’emprunter le train local de Bombay à vivre une expérience à la suite de laquelle vous risquez bien de trépasser. Le train manque de portières, et dans un métro en plein air ce “léger détail” fait malheureusement un nombre important de victimes chaque année qui meurent en tombant dans le vide, bousculées par une vague de passagers trop pressés.

Ci-dessous, une vidéo (« en caméra cachée »), prise à la sortie du wagon.

Which station do you get down?

Prendre le train local à Bombay, c’est se confronter à cette question qui revient inlassablement dans la bouche des passagers. Je parlerai ici du wagon femme. A cette question, la personne entend réserver sa place dès que tu descends. Une véritable chasse à la place. Qui sera la première à réserver son siège tant convoité? Un, deux, trois, partez!

Point info: La circulation à Bombay est insupportable, raison pour laquelle je préfère largement le train local à ce mode de transport. Pourquoi? Tout d’abord, je dirai qu’il fait trop chaud à l’intérieur des véhicules. Taxis et rickshaws confondus, c’est la même galère. A cela s’ajoute le temps de trajet quatre fois plus long qu’en train (et je n’exagère pas). Un trajet de 30 min en train peut aisément excéder les 2h sans sourciller en auto. Incroyable mais vrai! Et puis ce n’est pas un scoop que Bombay est une ville hyper polluée, donc “save the planet, take the train” 😉

Le BoulotIMG_4905

A Bombay, j’étais donc stagiaire assistante chef de projet pour l’ONG CRY : Child Rights and YOU d’ Octobre 2013 à Mars 2014 (6 mois). J’ai eu l’incroyable chance de participer à “Vote for Child Rights”, la campagne de sensibilisation pour les élections indiennes de 2014. Pour la minute CV, mes missions aussi diverses et variées s’articulaient autour de ces quatre points:

  • Gestion de projets de communication externe/interne

  • Evénementiel et partenariats culturels: Mumbai Marathon, Kala Ghoda Arts Festival

  • Conception de supports de communication pour la campagne de sensibilisation

  • Veille concurrentielle pour campagnes marketing à succès (Greenpeace, One, Pink Ribbon, etc…)

J’ai vécu une expérience aussi riche culturellement que professionnellement. J’ai travaillé au cœur d’une problématique qui me tient particulièrement à cœur, à savoir les droits de l’enfance; avec une équipe de personnes motivées et compétentes.

 

Le Dodo

Après deux semaines de recherches et une quinzaine de visites dans des “appartements” plus insalubres les uns que les autres j’ai fini par trouver mon petit nid d’amour à beaucoup de choses près, à Dadar station. Et ce n’était pas gagner d’avance!

Chers lecteurs, sachez qu’à Bombay, les prix des loyers sont affreusement exorbitants si bien qu’une colocation décente combinant propreté, gaz, eau chaude et sécurité c’était presque mission impossible. La plupart du temps, les personnes à la recherche de logements, souvent des étudiants et jeunes actifs occupent une chambre dans un appartement familial. Cette option est communément appelée “paying guest”. C’est forcément propre mais les conditions d’habitation sont légèrement trop restrictives à mon goût : couvre feu, accès limité à la chambre louée et à la salle de bain privative attachée. En effet, rares sont les Paying Guest qui autorisent un accès la cuisine. Encore pire, la chambre est souvent à louer à deux, à trois, parfois même à quatre. Il arrive même parfois de partager un lit double avec son colocataire de chambre : l’enfer.
Heureusement, j’ai fini par trouver ! J’ai donc été 5 mois en colocation avec Neha et Amrutaa, deux jeunes femmes de 27 et 26 ans travaillant respectivement en tant qu’interne à l’hôpital et comme employée d’une banque internationale. Tout s’est très bien passé, ce sont des femmes adorables! Nous vivions au centre de la ville, station Dadar East.

Le quartier de Dadar à Bombay est animé, festif, coloré, ça chante, ça crie, ça gueule… mais c’est avant tout très chaleureux, peut-être un peu trop 🙂
Les gens trouvaient d’ailleurs curieux qu’en tant qu’expatriée, je ne me sois pas installée à BANDRA: le quartier où la population d’expatriés est reine et où les occidentaux fréquentent restaurants et bars branchés. Alors quand avec des yeux ronds mes interlocuteurs me demandaients “Pourquoi Dadar?”, je leur répondais que plus du confort, et des boites de nuit, parce qu’en plus y’en a pléthores à Paris, c’est une immersion en terre inconnue que je recherchais et je l’ai trouvée 🙂

Bombay avec India Someday

image1A mon arrivée à Bombay, pour commencer mon trip #YouWanderWePay organisé par India Someday, j’ai été accueilie chez Fabia et Soraya pour quelques heures avant de prendre mon train pour Aurangabad avec Alexandra. Soraya et sa fille Fabia sont les parfaites hôtes pour un séjour réussi à Bombay. Vous pouvez les contacter en accédant à leur annonce publiée sur le site Airbnb. Vous n’êtes pas prêts d’être déçus de votre séjour:            https://www.airbnb.co.in/rooms/277504?s=cuuE

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Voyage au Kerala, où aller et quoi faire ?

Visiter Kerala –  c’est une des plus belles régions de l’Inde et nous vous recommandons fortement de l’inclure à votre plans de voyage en Inde. Il vous faudra passer environ 7 à 10 jours pour bien découvrir la région. En général, nous conseillons à nos clients de se rendre au Kérala pour la dernière semaine de leur séjour afin de se reposer.

 

Les quatres itinéraires principaux  pour –  visiter Kerala

 

Route I:  L’essence du Kérala: Fort – Cochin – Munnar – Thekkady – Alleppey / Kumarakoam (7-8 jours)

 

C’est la route  préférée des touristes pour découvrir le Kérala. Elle permet de découvrir à la fois le patrimoine culturel européen avec le Fort de Cochin, les plantations de thé à Munnar, les forêts de Thekkady et les backwaters de Alleppey.

 

Le temps de trajet entre les destination est d’environ de 3 heures . Vous pouvez également supprimer une destination pour mieux en apprecier une autre .

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Près deThekkady, Mayapot  est un lieu intéressant pour rester avec des enfants.(Photo Credits)

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Danse traditionnelle au sud de l’Inde (Photo Credits)

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Plantations de thé à Munnar (Photo Credits)

Route II: Les plages du Kérala (Marari, Varkala et Kovalam), 10-12 jours

 

Cet itinéraire part de Fort Cochin, vous emmene à Munnar (Thekkady) puis Allepey puis se termine sur les plages du Kérala.La plage de Marari se trouve tout juste à 45 minutes de Allepey. Elle est moins fréquentée que Varkala ou Kovalam, et sa beauté est intacte.En revanche il y a moins d’hôtel sur celle ci, c’est pourquoi nous  vous recommandons de plannifier votre séjour bien en avance.

 

Vous pouvez voyager dans un train pour aller à Alleppey de Varkala. Varkala et kovalam sont connues également pour leurs hôtels “ayurveda”, qui proposent des soins et massages Ayurvédique (médecine alternative à base de plantes). Certaines personnes  préfèrent  y rester pour plus d’une semaine pour se reposer.

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(Photo Credits)

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(Photo Credits)

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Marari Beach Resort, un endrot où il fait bon vivre (Photo Credits)

Route III: Hors des sentiers battus- Wayanad, Kannur, Athirapilly

 

Si vous voulez visiter les endroits moins touristiques et plus calmes, cette route est idéale pour vous. Wayanad et Kannur se situent au nord du Kérala.

Wayanad est la destination idéale  pour ceux qui recherchent un havre de paix et  romantique pour leur voyage de noces. Les résidences  Vythiri Resort , offrent à leurs clients un cadre idéal au coeur de la forêt. Parfait pour une escapade amoureuse.

Kannur est une charmante petite ville qui se situe entre la mer et les collines du Kérala. Vous pourrez à la fois randonner dans les frets verdoyantes des hauteurs et vous prélasser au bord de plages idylliques. La ville dispose également d’un patrimoine historique très riche et est réputée grâce à  la fabrication de textiles.

Si vous êtes à Delhi/ Mumbai, le plus simple est de prendre un vol jusqu’a Calicut puis de vous rendre en voiture jusqu’a Wayanad/Kannur. De la bas, vous pourrez facilement trouver un train pour rejoindre Cochin.

Le temps de trajet entre Athirapilly et Cochin est de 1h et demi.En chemin, arretez vous aux Chutes d’Athirapilly que l’on appelle aussi “Le Niagara Indien”. Le Kérala est réputé pour sa faune et sa flore très abondante; vous vous en rendrez très vite compte.

Route 4: Visiter Kérala pendant la période des festivals.

 

La région du Kérala est connue également pour  ses nombreux temples et ses fêtes dédiées aux éléphants; la fête de Thrissur Pooram en étant la plus grande.Elle se déroule à Thrissur et dure pendant une semaine en avril/ mai chaque année.

Onam est aussi une fête importante au mois d’août/ septembre. A Trivandrum, près de 3000 artistes de 6_ arts différents se représentent.

À Kannur, vous pourrez assister au “Thiyyam” , festival d’art floklorique (octobre-mai). Ce festival traditionnel est très animé est coloré . A ne pas manquer .Il est préférable de rester chez l’habitant au lieu d’un hôtel pour avoir une expérience de cette fête de plus près.

 

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Road trip en Inde – Delhi-Agra-Rajasthan

Road trip en Rajasthan – Nous vous proposons ce séjour d’une durée de 14 à 16 jours dans le Nord de l’Inde. Parfaitement adapté pour les routards, il vous  permettra de visiter la  région du Rajasthan ainsi que Delhi et Agra.

 Le circuit

 

Delhi – Agra – Jaipur – Jaisalmer – Jodhpur – Udaipur – Pushkar – Delhi

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Les moyens de transport 

Road trip en Rajasthan-  les  villes sont bien connectées entre elles et les trains sont nombreux et fiables. C’est pourquoi nous privilégions ce moyen de transports. Idéal pour une expérience culturelle, confortable (surtout si vous voyagés en wagons climatisés) et aussi pour les petits budgets.

Hébergements

Road trip en Rajasthan – Vous séjournerez soit en chambre d’hôtel  soit directement chez l’habitant. C’est un moyen avantageux de faire des rencontres et d’enrichir votre expérience avec les indiens. A jaisalmer, vous aurez même l’occasion de faire du camping dans le désert.

Le prix

Les tarifs varient entre 310 et 430 par personne selon :

  • la durée du voyage
  • le type de train
  • le choix de l’hôtel
  • le nombre de voyageurs dans un groupe

Le prix comprend:

  • les billets de train
  • La location d’un véhicule privé au cas où les trains ne sont pas disponibles.
  • les frais  India Someday pour la planification et la réservation du séjour.
  • les taxes
Les plus de ce séjour

Plus qu’une destination touristique, l’Inde est une expérience. Ce séjour vous marquera toute votre vie. En voici quelques raisons :

  1. La magnificence de Delhi

Delhi est une ville étourdissante et impressionnante. Son histoire remonte à la nuit des temps et cela se voit sur son architecture et sa nourriture. Cette ville allie à merveille l’ancien et le moderne.

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India Gate aux aurores

  1. Le désert et les charmes de Jaisalmer

Se rendre à Jaisalmer nécessite une nuit en train mais ca en vaut vraiment le détour ! La ville se trouve au beau milieu du désert .Ne manquez surtout pas le coucher du soleil  et profiter d’une nuit en camping.

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Les Ghats du lac Gadisar à Jaisalmer

  1. Les trains indiens

Vous ne pouvez pas aller en Inde et ne pas essayer les trains indiens. Traversez le pays sur rails, appréciez la vue et faite connaissance avec les indiens qui se feront un plaisir de partager un peu leur vie avec vous.

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Deux indiens discutent sur leur banquette .Classe couchette.

  1. La cuisine

Le nord de l’Inde est un paradis pour les gourmands. Essayez des nans (le pain indien), le lassi et les sucreries indiennes.sucreries indiennes

Assortiment de sucreries indiennes

  1. Le Taj Mahal

Vous aurez la chance de voir d’une des sept merveilles du monde …Le Taj Mahal !

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le Taj Mahal

  1. La visite d’Udaipur

Entourée de lac et de collines, udaipur est considérée comme LA ville romantique du Rasjasthan.

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Udaipur au coucher du soleil

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Let India Someday handle it and plan your best trip.

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